jeudi 21 juin 2012

Deux vampires exhumés en Bulgarie

Un squelette immobilisé par des pieux de fer...


Deux cadavres datant probablement du Moyen-Age, appartenant potentiellement à des vampires ont été découverts dans la ville de Sozopol sur la Mer Noire en Bulgarie, confirme le Directeur de l’Institut historique national bulgare Bojidar Dimitrov.

Selon une croyance païenne, les morts qui, de leur vivant, étaient considérés comme «méchants» étaient percés au cœur, le soir de leur enterrement, avec un bâton en bois ou en fer. Ils étaient ainsi cloués à leur cercueil et empêchés d’en sortir à minuit, transformés en vampires, a-t-il expliqué.

D’après lui, les corps, percés de morceaux de fer comme il était coutume à l’époque et jusqu'au début du 20e siècle, atteste de la peur de leurs concitoyens de les voir se relever. 

Dans la ville antique de Deultum, près de Sozopol, six squelettes des IVe-Ve siècles, aux bras et jambes cloués, et profondément enterrés, avaient été découverts en 2004 dans un tombeau thrace. Ces squelettes, entourés de pierres taillées, autre mesure contre leur résurrection en vampires, sont les plus anciens témoignant de cette pratique sur le territoire bulgare, selon l'archéologue Petar Balabanov.

Ce ne serait, toujours d’après Monsieur Dimitrov, pas les premiers squelettes de la sorte retrouvés au fil du temps…

A consulter :



J'ai bien du mal à admettre que ces coutumes ancestrales n'aient eu aucun fondement.

mardi 12 juin 2012

Le retour des araignées tueuses

Invasion d'une mystérieuse espèce d'araignée dans une ville indienne


Terreur sur Sadiya, dans l’état d’Assam en Inde. Une invasion d’araignées géantes d’origine inconnue a soudainement frappé un petit village durant une cérémonie hindue, faisant deux morts et de nombreux blessés. Très agressives, les centaines d’araignées poursuivaient les habitants, leur sautaient dessus pour les mordre et restaient accrochées à eux, plongeant la cité en pleine panique.

Alertés, les scientifiques sont venus enquêter sur le terrain et trouver un antidote au venin des arachnides, similaires à des tarentules. Cette espèce encore non identifiée et inconnue dans la région, pourrait avoir été introduites artificiellement dans l'écosystème, avoir migré pour une raison inexpliquée ou être sortie de grottes suite à une modification de leur environnement. L’enquête se poursuit.

A consulter :